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un ébène ou une ébène ?
fém. une ébène.
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un ou une chromatide ?
fém. une chomatide.
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un ou une alluvion ?
fém. une alluvion.
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un ou une arcane ?
masc. un arcane.
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un ou une oasis ?
fém. une oasis. [mais parfois masc. (wtf?)]
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entrailles (fém) n'existe-t-il qu'au pluriel ?
Oui, les entrailles mais *une entraille.
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catacombes (fém) n'existe-t-il qu'au pluriel ?
non, des catacombes sont une catacombe + une autre catacombe.
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appas (masc.) n'existe-t-il qu'au pluriel ?
oui, des appas alléchants mais *un appa.
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pourparlers n'existe-t-il qu'au pluriel ?
non selon les annales concours mais oui, uniquement au pluriel selon Larousse et Wiktionnaire.
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annales (fém) n'existe-t-il qu'au pluriel ?
oui, des annales qu'on retiendra, *une annale.
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frusques n'existe-t-il qu'au pluriel ? Genre + déf.
- =des fringues (argot pour vêtements).
- Seulement au pluriel « des frusques pourries » mais *une frusque pourrie.
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agrès n'existe-t-il qu'au pluriel ?
oui, de vieux agrès mais *un vieil agrès.
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prémisses n'existe-t-il qu'au pluriel ?
non, des prémisses, une prémisse.
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émoluments n'existe-t-il qu'au pluriel ?
non, un émolument, des émoluments.
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Quelle est la locution latine figée pour indiquer que seul le pluriel existe ?
plurale tantum.
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bâillon, baillon ? bâillonner, baillonner ?
bâillon & bâillonner. Noter que débâillonner existe.
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Quel est l'orthographe du terme français pour l'anglais bayonet ?
baïonnette.
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définition & exemple d'holorime.
- Du grec holo-, tout + rime : homophone syllabe pour syllabe. ex:
- un vieil armagnac ; un vieillard maniaque.
« Gal, amant de la reine, alla, tour magnanime, galamment de l'arène à la tour Magne, à Nîmes. »
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aptonyme ?
qui a nom de famille en rapport avec son métier.
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prononciation de bourgmestre ?
/g/ selon les annales de concours, avec ou sans selon wiktionnaire.
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coutil : prononciation et sens ?
- un coutil, du coutil.
- Toile faite de fil de chanvre ou de lin.
- Également toile qui constitue l'enveloppe d'un matelas.
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prononciation de persil ?
/pɛʁsi/
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prononciation de rébus ?
/ʁebys/
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consonnance ou consonance ?
consonance.
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résonner ou résoner ?
résonnance ou résonance ?
- résonner ;
- résonance surtout, résonnance admis comme variante.
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sonagramme ou sonnagramme ? Sens ?
- Sonagramme. =sonogramme.
- Image d’un signal dans une représentation fréquence–intensité en fonction du temps.
- « C'est le cas du son de la voix, on l'a noté, enregistrable par le sonagraphe, retraçable par un sonagramme où les fréquences sont portées en ordonnée et le temps en abscisse, […]. » — (Marie Serna, L'image de la voix…)
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fraîchin ?
- Variante de fraichin. Sentir le fraîchin.
- Forte odeur de poisson frais, ressentie comme puante, désagréable.
- « J'aimerais savoir si quelqu'un connait un truc pour enlever l'odeur de fraichin de mon lave-vaisselle. »
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remugle ?
- n.m. — un remugle.
- Odeur désagréable de moisi, humidité ou renfermé. Relent. Peut être employé au figuré tout comme relent.
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empyreume ?
- n.m.
- (Chimie) Odeur et saveur fortes et âcres que dégagent, en se décomposant sous l’action du feu, certaines matières organiques.
- (lorsqu'on torréfie du café par ex.)
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comminatoire ?
- n.m. & fém.
- 1- (Finance) Désigne une mesure destinée à faire pression sur un débiteur, mais qui n’est pas définitive et est susceptible d’être révisée après un certain laps de temps.
- 2- (Droit) Qualifie une mesure révocable destinée à faire pression sur un débiteur ; l’astreinte prononcée par le juge est souvent comminatoire. Une astreinte comminatoire.
- (Par extension) Ce qui implique, contient une menace. Propos comminatoires.Ton comminatoire. syn. de menaçant.
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vétilleux ?
- 1- Qui demande des soins minutieux, de l’attention aux plus petits détails. Ouvrage vétilleux.Occupation vétilleuse.
- 2- Se dit des personnes qui s’amusent, qui s’arrêtent à des vétilles. Cet homme-là est trop vétilleux. C’est un esprit vétilleux. Dans ce sens, aussi subst. : un vétilleux.
- syn. : chipotier, tracassier, pinailleur, vétilleur.
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palinodie ? (genre & sens)
- n.fém.
- Rétractation de ce qu’on a dit. « En dépit de ses prudences, voire de ses palinodies, Abélard n’échappa au sort de Bérenger et de Roscelin. Saint Bernard, au concile de Sens, le fit condamner […]. » — (Louis Rougier, Histoire d’une faillite philosophique: la Scolastique, 1925, éd.1966)
- « Ce discours, où il a renié toutes ses précédentes déclarations, est une honteuse palinodie. »
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gentrification ?
(Néologisme) (Anglicisme) (Sociologie) Embourgeoisement, processus par lequel le profil sociologique et social d’un quartier se transforme au profit d’une couche sociale supérieure.
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atterrissage ou aterrissage ?
atterrissage.
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phylloxéra ?
- (existe aussi sous la forme sans é)
- 1- Insecte hémiptère qui ronge la racine, la tige et la feuille de la vigne.
- 2- par ext. maladie de la vigne causée par cet insecte.u
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dithyrambe ?
- n.m.
- 1- poème en l'honneur de Dionysos.
- 2- (Par extension) (Poésie) Espèce de poème lyrique qui se distingue de l’ode par un enthousiasme plus impétueux et par l’irrégularité des mesures et des stances.
- 3- (Figuré) (Souvent un peu ironiquement) Louanges excessives.
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méhariste ?
de méhari, dromadaire de course. En kabyle littéraire, « chameau qui porte des gens sur son dos ».
Personne qui monte un méhari, ou par ext. tout autre type de dromadaire.
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patronner ?
- 1- Protéger, pousser dans le monde. « Une personne considérable le patronnait. ».
- 2- (Figuré) Soutenir. « Et le gouvernement ne s’est pas encore aperçu qu’en protégeant les courses, il patronnait l’immoralité […] ! » —
- « Dans des quantités de communes dont les maires sont des radicaux ou des radicaux-socialistes, les électeurs, bien qu’il leur advienne de patronner, quand bon leur semble, les opinions les plus extrêmes, tiennent à faire leurs Pâques et à communier deux fois par an. »
3- intransitif(Arts) Colorier à l’aide d’un patron évidé aux endroits où la couleur doit paraître.
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pluriel du substantif « tête-à-tête » ?
des tête-à-tête (inv.)
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pluriel du substantif « savoir-vivre » ?
des savoir-vivre (inv.)
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pluriel de referendum (francisé en référendum ok) ?
des référendums.
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pluriel de duplicata ?
- des duplicata.
- Selon wiktionnaire, la nouvelle orthographe régularise duplicatas.
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pluriel de chasse-neige ?
des chasse-neige.
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état-major ou état major ?
- état-major.
- pluriel états-majors.
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non violent ou non-violent ?
non violent.
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non violence ou non-violence ?
- non-violence.
- -> généralement pas de trait d'union pour « non » + adj, mais oui pour « non » + substantif.
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ex æquo ou ex-æquo ?
ex æquo.
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château-fort ou château fort ?
château fort.
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loufiat ?
- 1- (Familier) (Péjoratif) ou (Argot) Garçon de café. « Le loufiat haussa discrètement les épaules. Y a longtemps qu’elle était prête, la bouteille ! »
- « Comme un loufiat passait d’aventure, Fédor Balanovitch lui dit : — Pour moi, ce sera un jus de bière. »
2- (Péjoratif) Domestique, esclave, larbin, homme sans caractère.
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accouder ou acouder ?
accouder. (et accoudoir)
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bacara ou baccara ? sens ? (≠ baccarat)
- baccara.
- n.m.
- Jeu de cartes où ce terme est usité pour accuser le point zéro. « Ils viendront solliciter en pleurnichant des dégrèvements d'impôts, me dit un fonctionnaire […], et ils risquent au baccara, au chemin de fer, des fortunes tous les soirs.... »
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combien de modes dans la conjugaison des verbes du français ?
- habituellement, 4 modes personnels et 2 impersonnels :
- l'indicatif, le subjonctif, le conditionnel, l'impératif ; l'infinitif , le participe.
- Un classement discuté.
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De quel verbe « il appert » vient-il ?
apparoir. =apparaître, en désuet.
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De quel verbe « peu me chaut » vient-il ?
- chaloir. importer, to matter.
- Défectif, on trouve aussi :
- « pour peu qu'il vous en chaille. »
- « peu me chalait de voir tomber la nuit. »
cf nonchalant !
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De quel verbe « issu » vient-il ?
issir.
- 1- désuet, = sortir.
- « L’on issait enfin de l’eau, l’on abordait à la rive. »
- « Des cris aigus issirent des flûtes. »
- « Oh ! immensité des firmaments nouveaux où mon corps incandescent fondrait tel un fil de platine d’où issirait comme d’un fourreau, mon âme ! »
2- (Spécialement) Venir ensuite dans la lignée. « Henry Bouju, qui fut marié à une femme de Chartres « qui estoit des Barillières », dont issirent des enfants qui tous sont morts sans lignée. »
3- (Par extension) (Désuet) Découler.
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Nom des temps conjugués dans la phrase suivante :
« il fallut qu'il plût pour attirer tant de courtisanes. » ?
- fallut : passé simple ;
- plût : subj. imparfait.
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revenir et paraître sont-il des verbes attributifs ?
paraître oui, revenir non.
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Quelle est la bonne forme ?
a- Les criminels, fût-ce les pires, ont droit à un avocat.
b- Les criminels, fussent les pires, " " " ".
- b, « fussent les pires ».
- v. au subj. imparfait ayant la valeur d'un conditionnel présent. Cette sous-phrase équivaut à une proposition de condition introduite par « même si », ou « quand bien même » :
- « Les criminels, quand bien même ils seraient les pires, ont droit à un avocat. »
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Quelle est la bonne forme ?
a- Les voleurs se sont laissé arrêter.
b- Les voleurs se sont laissés arrêter.
- a, « se sont laissé arrêter ».
- Le participe passé d'un v. pronominal suivi d'un infinitif s'accorde avec le sujet uniquement si ce dernier accomplit l'action désignée par l'infinitif, eg « ils se sont laissés tomber ».
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Quelle est la bonne forme ?
a- La pièce qu'il a vu jouer l'a ému.
b- La pièce qu'il a vue jouer l'a ému.
- a, « qu'il a vu jouer ».
- Le participe passé d'un v. non-pronominal suivi d'un v. à l'infinitif s'accorde avec le pronom qu'il précède (ici ‘qu'’, c.-à-d. pièce) si ce dernier fait l'action exprimée par le v. à l'infinitif. En revanche s'il la subit, le participe passé est invariable.
- -> « Les comédiens qu'il a vuS jouer l'ont ému ».
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hâve ?
- adj. m=fém.
- Qui est pâle et défait.
- « pâles, maigres, hâves, silencieux, mornes, déguenillés »
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hiératique ?
- adj.
- 1- En rapport avec les choses sacrées, notamment les religions ou la liturgie.
- 2- (En particulier) Qualifie une attitude, des gestes conformes à un rite ancien, établi, fixe ; ou un style imposé par une tradition sacrée.
- 3- (Par extension) Qualifie les formes d’art qui expriment ces attitudes et ces gestes.
- 4- (En particulier) (Antiquité) Qualifie certains caractères égyptiens, d’une écriture dont on pense que les prêtres seuls s’étaient réservé l’intelligence, par opposition aux caractères démotiques, qui étaient ceux que le peuple pouvait lire et comprendre.
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